Je préfère l’approche électroacoustique de Lemures (Giovanni Lami et Enrico Coniglio) à celle de Rafael Anton Irisarri: événements sonores disjoints qui se rencontrent sur un fond de bruitisme sinusoïdal. Moins cinématographique et plus confondant, chose que j’aime. Objets sonores, enregistrements de terrain, dispositifs électroacoustiques qui donnent aux quatre pièces un air hybride entre la musique …
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