On a souvent l’habitude de lever les yeux vers le ciel quand il s’agit de musique électronique, comme si chaque oscillateur n’avait qu’une ambition : rejoindre les étoiles. Terrenus de David Lee Myers, lui, inverse la focale. Ici, les fréquences ne s’évadent pas vers l’infini sidéral : elles s’enracinent. Elles rampent, glissent, se faufilent dans des interstices minéraux, …
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