Ceux qui sont restés nostalgiques des années ambient de Brian Eno et de sa discreet music devraient sans nul doute jeter une oreille plus qu’attentive à ce très bel album du musicien et artiste sonore, Lawrence English. À l’aide de guitares retraitées, de nappes et d’effets électroniques, de sonorités issues de l’environnement naturel et urbain, l’Australien compose de fabuleux paysages audio, à mille lieux des barbantes mélopées new age.