Lawrence English ou l’art de cultiver les paradoxes, tel pourrait être le sous-titre d’un album étonnant. Car de toute évidence, la musique de l’artiste australien n’évoque jamais les plages pour surfeurs ou les zones infestées de crocodiles de son pays. A cent mille lieues de là , c’est dans les contrées froides et brumeuses que cet …
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