
Una doppia compilation che raccoglie il materiale registrato da Marc Behrens tra il 1996 e il 2005. Il primo album autorizzato dall’autore ad essere pubblicato solo in formato digitale. Si tratta di una raccolta di materiale in gran parte edito precedentemente su compilation quindi l’ascolto nell’insieme risulta decisamente discontinuo nonostante l’omogeneità di fondo. La prima traccia in scaletta dedicate alla Coca-Cola nasce dalla manipolazione di un trasduttore ottico. La seste da una reinterpretazione di una composizione di John Hudak (“Don’t Worry About Anything; I’ll Talk To You Tomorrow”). Matasse di suono che occupano ogni spazio lasciato a disposizione. Roberto Mandolini
Stephan Mathieu’s “Virginals†live at Happy New Ears Festival

Tonight, Stephan Mathieu performs “Virginals†live at Happy New Ears Festival, Kortijk, Belgium.
Janek Schaefer performs in Conventry

Tonight, at A Thing About Machines, St. John’s Church, Coventry.
@c + Lia workshop in Perugia

During the next week, from September 28 to October 2, @c (Pedro Tudela and Miguel Carvalhais) and Lia will develop a workshop in Perugia, Italy. Under the title “Studies in Synchresis / La Costruzione Audiovisiva†they will work with 10 students, developing experimental audiovisual pieces. The week will conclude with a live performance by @c + Lia.
Tonight at Deutschlandradio Kultur

Klangkunst, a program by Marcus Gammel in the Deutschlandradio Kultur will present a broadcast of its Newcomer Werkstatt dedicated to the Portuguese experimental music scene. Crónica and Miso Music will be featured and among other pieces, new compositions by @c and Vitor Joaquim will be premiered. The broadcast starts at 5 past midnight (CET).
Stephan Mathieu’s “Process†live at Netwerk Aalst, Belgium

Tonight at Netwerk, Aalst.
“Lovely Banalities†reviewed by Etherreal

Après le double album Lengvai / 60 x one minute audio colours of 2kHz sound en 2006, voici le deuxième long format du Lithuanien à paraitre sur le label portugais chez qui il a entre temps sorti quelques productions en format numérique.
Son précédent album était composé de deux facettes très distinctes de son travail, avec d’une part un CD d’une electronica minimale du plus bel effet (que l’on comparait à un croisement entre Frank Bretschneider et Pan Sonic) et d’autre part un travail purement conceptuel sur une fréquence sonore. Heureusement, Gintas K semble être revenu à un travail artistique plutôt que scientifico-didactique, avec comme son titre l’indique un travail sur la beauté des banalités du quotidien, essayant de s’attarder sur ce que l’on ne voit plus, ne perçoit plus car complètement intégré dans notre quotidien. Pour cela, il travaille sur des field recordings mais au lieu de les présenter tel quel à la manière d’un Chris Watson qui va chercher sa matière première aux quatre coins du monde, Gintas KraptaviÄius enregistre les sons de sa ville un après-midi de grands vents, et les met en musique, jouant des contrastes entre composition et sonorités ambiantes.
L’album est découpé en 14 pistes qui sont autant de compositions électroniques minimales, aux sonorités pures voire brutes quand elles se font plus dures. Les field recordings ne sont ici pas forcément apparents, généralement réservés aux introductions et conclusions, servant de liant entre chaque vignettes sonores. On pourrait trouver le choix artistique décalé (est-ce que pour traiter des banalités du quotidiens ces fields recordings ne devraient pas être les éléments centraux ?), mais le Lithuanien tend à composer sa musique comme une banalité, quelque chose de simple. Si le travail de recherche sonore est indéniable, les compositions se révèlent être minimales, jouant énormément sur les boucles, la superposition de notes répétitives en multiples strates (Lovely Banalities, Music Box), s’essayant au drone (C2) avec une montée monstrueuse puis laissant filer le cours d’une rivière (HH3), usant d’effets de frétillements et autres bouillonnements (Q, Just 1), clapotis numériques (Before When) ou tintements de bois créant une sorte de pluie mélodique (When I Was Able To Laugh 2) comme pour reproduire ou évoquer des bruits de notre quotidien.
Gintas K produit ici une musique a priori difficile d’accès, plutôt abstraite, avec des sonorités inhabituelles, des mélodies rares mais superbes, bref une musique expérimentale mais avec une démarche particulièrement poétique. Fabrice Allard
via Etherreal
Marc Behrens’s “Sleppet†is in production

Copies are expected soon. Pre-orders accepted.
The Beautiful Schizophonic live in Évora

Tomorrow in Évora, the Chão project invites The Beautiful Schizophonic for a performance at Rua Mendo Estevens, 78. From 17h onwards.
Música Experimental Portuguesa – Panorâmica

Rui Eduardo Paes presents a stroll through Portuguese experimental music, featuring guest performances. The first session, “Pionners” is dedicated to the 60s and 70s, highlighting the work of Jorge Lima Barreto, VÃtor Rua (Anar Band, Telectu, etc.) and Carlos “ZÃngaro†(Plexus, etc.). Session two, “Trânsfugas” looks at the 1980s and 90s and to the work of Nuno Rebelo, David Maranha (Osso Exótico, etc.), Sei Miguel, Ernesto Rodrigues, Rafael Toral, Carlos Santos, Paulo Raposo (Vitriol, etc.), Manuel Mota and Américo Rodrigues. Finally, session three, “Electrónicos e electroacústicos” is dedicated to the 1990s and 00s and to the work of Miguel Carvalhais, Pedro Tudela (@c), VÃtor Joaquim, Miguel Cabral, EmÃdio Buchinho, André Gonçalves, Nuno Moita, Gustavo Costa, Jonathan Saldanha, João Martins (colectivo Soopa), Pedro Lopes, Pedro Sousa, Munch von Namek (OTO, etc.).
The guest performers will be Carlos ZÃngaro (session 1), Carlos Santos (session 2) and Pedro Sousa (session 3). 16, 17 and 18 September at the Goethe-Institut Portugal, Lisboa.
More info at granular.pt and rep.no.sapo.pt
